L'art de la guerre

A l'heure où nous mettons sous presse, il semblerait que la sortie de ce dimanche ait été moins "agitée" que celle de dimanche dernier.

Ce sont 31 CCRgistes qui se sont rués pour déchirer le bitume après une semaine d'abstinence liée aux conditions pluvio-orageuses.

Certain (Christophe V pour ne pas le citer) du groupe 1 ayant toutefois une certaine appréhension n'a pas hésité à demander l'asile politique au groupe 2, ce qui lui fût accordé sans réserve. Parfois il  convient de se rapprocher des sages et vénérables pour comprendre la quintessence du vélo (Confucius).

Le parcours de ce dimanche, repassait par des terres hostiles, à savoir Cuers, où notre ami Francis se vit confronté dimanche dernier à des hordes barbares. Notre centurion en chef (lire vice-prèz) adopta une tactique afin de franchir cet obstacle. A 500 mètres, il fit mettre le grupetto en formation, dite du "carré", Francis au milieu; à l'entrée de la zone hostile, il ordonna la formation "en tortue" afin de protéger Francis des jets de projectiles (glaives et autres pilum, des barbares vous disais-je !) :

Manoeuvre remarquable s'il en est, Francis sortant indemne de ce qui aurait pu être un nouveau Roncevaux.

Besse sur Issole voyait un nouveau concept dans le club, le "grupetto ambulance" inauguré par nos amis Jean-Louis B et le vice-prèz. Sur un air bien connu d'Ouvrard (mais si voyons : "J'ai la rate qui s'dilate, j'ai le foie qu'est pas droit...", ça ne vous rappelle rien ?), je vous explique pas les dialogues hautement philosophiques :

-VP (vice-prèz) : putain mes genoux

- JL : et les miens

- VP : et mon dos

- JL : ah oui toi aussi ?

- VP : j'te raconte pas !

- JL : à qui le dis-tu

bref, vous voyez le genre. A tel point que sur la fin :

- JL : j'suis mort !

c'était plus une ambulance mais un corbillard !

Au passage, l'ambulance a récupéré sur la route l'ami Robert Vacca, qui vous transmet ses amitiés et compte réintégrer bientôt le grupetto.

Bonne semaine à tous.